[ HRP : J'ai appris que vous aviez besoin d'un Chuunin donc... ]
Présentation de Kazuki Ueshiba
Nom : Ueshiba
Prénom : Kazuki
Age : 22 ans
Goûts : Cela ne regarde que lui…
Description mental/physique ( De « Celui qu’on ne voit pas ») : Kazuki est relativement froid, distant, et porte très peu d’affection aux autres exception faite de son loup ainsi qu’a celle qui fait battre son cœur… Il est assez intelligent et à l’esprit logique, de ce fait il est un très bon leader qui favorise la discrétion au combat lors de ses missions. Kazuki est relativement petit et de corpulence moyenne (1m76, 65kg), ses joues creuse lui donne un air de « méchant ». Comme son père, il a l’habitude de fumer en permanence…
Description mental/physique de Kazuki le nouveau (chuunin de Suna) : Kazuki est extrêmement stricte et exige énormément de ses élèves, à un point tel qu’on pourrait le juger de sadique, cependant, il a toujours le mot pour rire (cela ne le fait rire que lui^^). Il est assez intelligent et à l’esprit logique, de ce fait il est un très bon leader qui favorise la discrétion au combat lors de ses missions. Kazuki est relativement petit et de corpulence moyenne, ses joues creuse lui donne un air de « méchant ». Comme son père, il a l’habitude de fumer en permanence…
Nindo : Nous ne sommes que de minuscules cailloux dans cette univers. Dans la vérité le bien ou le mal n’existent pas… Ce ne sont que des prétextes inventés par les hommes…
Histoire :
Six années auparavant, quelque part dans une salle d’interrogatoire du village caché de Kiri no kuni
Un jeune homme, d’une quinzaine d’années, affalé sur une chaise, dans une salle d’interrogatoire, semble répondre aux questions de trois hommes, vêtu de noir et portant des masques à l’effigies d’animaux …
« « Qui es tu ? » »
« « Je m’appelle Kazuki Shinryu, j’ai seize ans, et je suis nettoyeur… » »
« « Nettoyeur ? » »
« « Mon métier consiste à tuer des personnes, femmes, enfants peut n’importe du moment que je suis payé… » »
« « …Que faisais tu dans la chambre du seigneur Nekotechi ? » »
« « On va commencer par le commencement avant de vous dire ce que je faisais dans le bureau de ce richissime seigneur, non ? Dans la vie nous devons tous faire des choix… Choisir la vie, choisir un boulot, choisir une carrière, choisir une famille, choisir une putain de télé à la con, choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvres boites électrique. Choisir la santé, un faible taux de cholestérol, une bonne mutuel. Choisir son petit pavillon, choisir ses amis, choisir son survet et le sac de sport qui va avec. Choisir son canapé avec deux fauteuils le tout à crédit avec un choix de tissu de merde, choisir de bricoler le dimanche matin en s’interrogeant sur le sens de sa vie, choisir de s’affaler sur ce putain de canapé et s’lobotomiser aux jeux télé en s’bourrant d’faast food. Choisir de pourrir à l’hospice et de finir en se pissant dessus dans la misère et de réalisant qu’on fait honte à nos enfants… Choisir son avenir, choisir la vie… Pourquoi je ferai une chose pareil ??? J’ai choisi de ne pas choisir la vie… J’ai choisi autre chose, des raisons ? Y’a pas de raisons… on a pas besoin de raison quand on tue des gens… » »
« … ? Tu t’égares jeune homme, viens en au fait, que faisais tu dans la chambre du seigneur Nekotechi ? »
« Tout a commencé dans le village caché d’Ame no kuni, il y a huit années de cela. A cette époque, il était très difficile de vivre, ou devrais-je dire survivre, ma mère, une camée se prostituait afin de pouvoir se payer son « fix » (sa dose), et mon père, je ne l’ai jamais connu, il devait être l’une de ses nombreuses passes… Bref, cette misère m’avais vite traumatisé, j’en avais marre de voir ma mère titubant sur le canapé, tout en devant ouvrir la porte aux ussiés de justice ou autres percepteurs d’impôt, j’avais la haine… -c’est cette chose qui m’a sûrement fait gâcher toute ma vie-. Pour toutes ces raisons, je décida de partir loin, très loin… J’étais seul, en plein milieu d’une jungle, la vie, contre laquelle je ne pouvais rien faire… Les gens me regardaient et ne faisait rien pour m’aider, tout ce qu’ils m’offrait c’était leurs répulsion… J’étais sous alimenté, je fouillais les poubelles dans l’espoir de trouver de quoi me nourrir, il m’est même arrivais de manger des charognes dont les pores suinter de moisissures… L’hivers arrivait, les gens ne me portaient que du mépris, j’avais donc renoncé à vivre… Ma sous alimentation m’avait fait m’évanouir, c’est la dernière chose dont je me souviens, à mon réveil, j’étais allongé dans une caverne, un vielle homme sénile attisait un feu où grillé deux petit lapins et un loup se tenait à mes cotés. Cette homme, c’est lui qui m’a redonné goût à la vie, tout comme moi, lui aussi était issue des bas quartiers d’Ame… Seito, Seito Kitano, c’était son nom, il m’a tout appris, comment s’introduire chez les gens par effraction, l’escamotage, le déplacement silencieux, le Ken-justu et surtout l’art de tuer… C’est ainsi, qu’avec le soutien de son loup, Frendrilh, je suis devenu très rapidement un tueur hors pair, je ne connaissait ni le doute, ni la crainte, ni le remords, une vraie machine à tuer cependant, je ne sais pourquoi, à chaque meurtre, mon l’œil gauche pleurait, au fond c’est que je dois avoir un bon coté non ?…. Je me fit rapidement une réputation et l’on attribua plusieurs surnom : « Celui qu’on ne voit pas », ou encore « The crying Free man », en référence à mes pleures… Tout le monde me désirait… Un jour, je me fis remarquer par la pègre local qui m’engagea, une fois mes preuves faites en tant que nettoyeur… Je me croyais au dessus de tout, enlever la vie des autres donne un sentiment de supériorité, jouer pendant quelques instants le rôle de « dame destinée »… Et puis par dessus tout, cette sensation lorsque votre Katana pénètre la chair de votre victime ne pouvant rien faire à part être le témoin de son propre trépas… Ressentir ses derniers spasmes, ses derniers souffles, et enfin la satisfaction d’avoir rempli son contrat lorsque celui-ci baigne dans son sang… J’en tremble encore d’excitation… Mais un jour, mon père adoptif, Seito, mourut de vieillesse, et avant de rendre son dernier souffle de vie, il m’avait dit : » »
« « Je t’aime mon fils, trouve toi un être cher, et protèges le jusqu'à la fin de tes jours, ne commet pas la même erreur que moi… » »
« « Ce fut ses dernières paroles, et j’avais comprit ce qu’il voulait me dire… Je décida de partir avec Frendrilh qui était devenu mon meilleur ami, encore une fois, de tout plaquer, Suna no kuni, le « rêve américain » un havre de paix… Là bas, j’ai croisé une femme, elle était radieuse, de magnifique cheveux blond faisait ressortir ses yeux de couleur noisette. Sa peau était douce comme la soie, elle m’aurait pu m’ apporté l’amour que je n’ai jamais eu…
J’avais enfin compris ce qu’étais d’être amoureux, d’avoir le béguin, moi qui ne croyais pas un mot de toutes ces conneries comme l’amitié, l’amour, la passion que l’on retrouve dans les chansons écrites pour des millions de personnes… Mais malheureusement, on ne sort pas si facilement du crime, une dépendance c’était crée, elle me vouait aux meurtres à tout jamais… Il me fallait une dose, non pas d’héroïne comme pas mère, mais de sang, il me fallait me sentir vivant ce que je n’arrivais à faire en prenant la vie des autres… Et il me fallais me sentir revivre… Tazuno, mon employeur, me donna mon dernier contrat, tuer Nekotechi un richissime noble d’Kiri no kuni. Et puis vous connaissez la suite, vous m’avez attrapé, et vous allez sûrement me tuer est-ce exact ??? » »
« « Officiellement oui… » »
« « … Je ne vous saisi pas… soyez plus clair. » »
« « Vois-tu, tu es relativement fort, ça serait un gâchis de te tuer cependant, si nous ne simulons pas ta mort, beaucoup de tes anciennes fréquentations vont te soliciter et risque de nuire au village… Nous allons donc te permettre de revoir cette fille… Mais ceci a un prix, nous allons t’engager pour former nos futurs assassins, l’élite de l’élite, la crème des crèmes… Ce Seito dont tu parles tant, jadis il était le chef du commando stratégique des services secrets de Suna no kuni. Et j’ai bien l’impression qu’il t’a enseigné les arcanes du sinistre clan Kitano… » »
« « Je refuse d’apprendre l’art de mon maître… Je suis ouvert à toutes les offres exception faite de celle-ci… » »
« « Soit, je te nomme donc Chuunin, tu effectueras des missions crutiales, et puis qui sait, un jour peut-être qu’on te confira une équipe de genin si ton comportement « meurtrier » disparaît^^ … A présent, présente toi à l’académie, une paye, un uniforme, ainsi qu’un logement de fonction te seront remis… Au revoir jeune Kazuki, une derrnière chose ? » »
« « Je pense que le moment est venue de vous dire ce que j’ai appris, d’en tirer une conclusion non ? Et bien ma conclusion est que la haine est une saloperie, la vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine. Ca n’en vaut pas la peine. Seito m’a dit un jour que c’est bien de terminer une histoire par une citation, il disait que quelqu’un avait du en faire une bonne, alors si on ne peut pas faire mieux, autant la lui emprunter carrément. J’ai choisi celle là, et j’espère qu’elle vous plaira…
« « Nous ne sommes pas ennemie mais amis, nous ne devons pas être ennemie… Même si la passion nous déchire, elle ne doit pas briser l’affection qui nous lie. Les cordes sensible de la mémoire vibreront dès qu’on les touchera, elles résonneront au contact de ce qu’il y a de meilleur en nous… » »
Aujourd’hui Kazuki a vingt-deux ans et il est marié… L’ancien Kazuki a cédé sa place à un nouveau…